La bête
Nous sommes restés complètement hermétiques à cette histoire d’amour et de rencontres en 3 parties/époques qui se croisent. Malgré la présence de Léa Seydoux de tous les plans et qui arrivent parfois à nous intéresser à l’histoire, on reste de marbre à ce labyrinthe temporel prétentieux et surtout obscur.
Si on y rajoute une longueur inappropriée du film (2H20), l’abstraction qui se dégage du film épuise le spectateur qui en sort lessivé.
Très hermétique dans sa forme, et malgré quelques belles scènes de la période 1910, « La bête » est un pari raté dans la recherche d’une forme originale de récit qui perd le spectateur et l’ennuie. Un passage à vide pour le réalisateur des excellents « L’apollonide » et « St Laurent » ?
Note : 12/20