27 août 2013 Par Jean-Christophe Hadamar 0

Jeune et jolie

Cette chronique morale et non moralisatrice se regarde entre légèreté et gravité et sans jugement.
Porté par une jeune et nouvelle actrice lumineuse, le film montre les dérives de la fin de l’adolescence à la fois avec distance et une certaine élégance.
Certains diront par manque de conviction, mais plutôt avec une certaine froideur, teintée de mystère, marque de fabrique de François Ozon.
Néanmoins, le trouble subsiste autour sur ce mal-être adolescent souvent décrit au cinéma.
Bien écrit et bien joué, un conte moral froid, sans jugement ni voyeurisme.

Note : 13/20


Jeune et Jolie de Francois Ozon - Bande-Annonce par cinemur